Le Jardin des Mirabelles Passer un agréable moment en famille près de Bordeaux

Avis des voyageurs Google Le Jardin des Mirabelles

4.7 sur 5 50 avis

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  5 sur 5 Avis publié par JPDEP33 le 02/07/2025

  Endroit magnifique et dépaysant.Acceuil parfait et cuisine qui peut paraître simple mais très bien préparée. Rien à dire , je recommande. Merci pour cet agréable moment.

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  5 sur 5 Avis publié par Ines Peyronneau le 22/06/2025

  Une expérience exceptionnelle et hors-du-temps. Le lieu est sublime, la nourriture de qualité et très bien cuisinée, l’ambiance féerique. Nous recommandons vivement et remercions toute l’équipe pour sa gentillesse et son professionnalisme, en particulier Mohana et Sherydan.

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  5 sur 5 Avis publié par Eric D le 17/06/2025

  Le restaurant Le Jardin des Mirabelles, niché dans l’enceinte du château de Camiac, oscille entre bistronomie et gastronomie. Pour ma part, c’est une véritable adresse gastronomique, fréquentée ce soir-là par une clientèle jeune, visiblement venue pour le plaisir des sens — et cela m’a réjoui. Avant de passer à table, nous avons pris un apéritif dans un salon cosy, bercés par une musique jazz de bon goût. La carte des rhums et whiskies est généreuse, les fauteuils profonds appellent à la paresse assumée. En salle, le service est assuré par une équipe jeune et professionnelle. La maîtresse d’hôtel, issue de l’école Vatel de Bordeaux, veille avec justesse : l’élégance discrète de ceux qui savent. La salle, décorée avec goût, est chauffée par deux cheminées à gaz, apportant chaleur et intimité. Des accords brésiliens façon « Un homme, une femme » diffusent une douce nostalgie. La carte des vins est remarquable : Bordeaux, Bourgognes, Chablis, Sauternes… Il y en a pour tous les plats, tous les palais. Nous avons opté pour un Prieuré Lichine 2018, Margaux équilibré, aux notes de fruits noirs et de cèdre. En entrée, un tartare de betteraves multicolores au goût subtil de mertensia maritima pour mon épouse ; pour moi, un œuf Ozen à 63°, velouté de châtaigne et émulsion truffée. Pain frais du Fournil de Créon, encore tiède. Les produits sont locaux, les cuissons précises. Les plats : linguine aux cèpes et émulsion truffée, magret de canard rosé accompagné d’un gratin au Beaufort. Un sans-faute. En dessert : poire pochée au vin chaud, crème légère à la fève tonka — parfum rare mêlant vanille, cacao et amande. Pour moi, assiette de fromages généreuse : comté 18 mois, tomme de brebis translucide, brie à la truffe. Un dîner sans fausse note. Si le diable est dans les détails, alors ici, la damnation est délicieuse. Merci au chef, à la salle, et à ceux qui ont su si bien les choisir.